Section féminine RCS
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mediasocLes féminines de Chelsea sont championnes d'Angleterre, je pense qu'ils respectent le sport féminin.
Pour ma part, le traitement de l'équipe féminine en Première Ligue sera un des marqueurs de mon opinion sur Blueco : il y a moyen de s'installer dans le top 5 français en y mettant les moyens.
En face, beaucoup de clubs de D1 sont en train de sombrer ou sont limités : Dijon, l'ASSE, Guingamp, ne sont pas en L1 chez les hommes, ce qui limite les possibilités. Montpellier va réduire les frais. Fleury est limité.
La naissance de la Ligue féminine va obliger à investir, notamment avec le salaire minimum et le nombre de contrats pro obligatoires. -
En étant un peu provocateur, je dirais même que c'est parce que ça pourrait devenir "expensive", que l'équipe féminine du Racing version Blueco pourrait tirer son épingle du jeu.
En vrai, sans faire d'énormes folies, le recrutement de cette saison a quand même été très bon et a contribué au titre de Championne décroché par les filles.
Je ne vois pas Blueco mettre à présent cette même équipe au pain sec et à l'eau, alors qu'il y a moyen de viser un maintien disons confortable la saison prochaine.
Après jusqu'à présent, la D1 féminine c'était quelques concepts clé et immuables :
1) L'OL et le PSG se battent pour la première place en prenant un max de points, et à la fin ce sont les lyonnaises qui l'emportent (9 fois sur 10 cette dernière décennie).
1)bis Les parisiennes du PFC ont vocation à finir 3e.
2) Derrière, il y a un certain nombre de nuances possibles, sachant qu'une équipe qui monte haut une saison peut aussi re-dégringoler rapidement.
3) En queue de classement, quelques équipes dont les victoires vont se compter sur les doigts d'une main. En même temps c'est moins infamant qu'en L1, vu qu'il n'y a que 22 journées (12 clubs). -
gassi67 a écrit, le 14/05/2024 22:02 : rubinsteiner a écrit, le 14/05/2024 19:34 : lenain2jard1 a écrit, le 14/05/2024 13:01 : Affréter un avion ( plutôt qu'un train ) pour les présenter dans une Meinau bondée dimanche soir eut été une initiative sympathique .
Acte manqué.
J’ai pensé exactement la même chose avant le match contre Metz!
Certes, ça aurait été cool pour elles. Mais que diable, pensez à vous et à vos étés à venir. A +2°C ce sera déjà très costaud en Alsace (on est déjà à +1,5°C). A +4°C, on dépassera régulièrement les 50°C.
MK et Desiré étaient présents pour voir les filles avant de s’envoler en jet privé pour rejoindre Lyon pour info! 🤪 -
En dehors de la Meinau,seuls Schiltigheim et Molsheim ont des terrains homologués pour la D1
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L'équipe réserve des féminines du Racing affrontera Nancy en finale de la Coupe du Grand Est ce samedi 17h (match à Vendenheim)
https://lgef.fff.fr/simple/strasbourg2-nancy-en-finale-de-la-coupe-feminine/
Pour un nouveau titre ? -
Elles jouaient où les Fédinoises quand elles étaient en ligue 1 ?chrisneudorf a écrit, le 22/05/2024 08:07 : En dehors de la Meinau, seuls Schiltigheim et Molsheim ont des terrains homologués pour la D1 -
Elles jouaient à Mundolsheim au Parc des Floralies.
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Dans les prochains jours les visages vont être plus fermés. Les premiers entretiens individuels ont démarré et beaucoup de sourires vont disparaitre. C'est la loi du sport de haut niveau malheureusement.
Je table sur une douzaine de départs à vue de nez. Plus de la moitié de l'effectif va devoir trouver une nouvelle destination. -
Et ben, garçons et filles même combat, vous êtes championnes c’est bien mais maintenant vous dégagez.
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Il y a visiblement un « gouffre » entre la L1 et L2 féminine.
Si c’est pour se faire démonter à chaque match, cela ne sert pas à grand chose de monter.
C’est malheureusement logique. -
Effectivement y a un gouffre
Saison dernière Lille a fait championne ligue 2
Cette saison elles ont fini dernière avec seulement 2 victoires -
chrisneudorf a écrit, le 22/05/2024 08:07 : En dehors de la Meinau,seuls Schiltigheim et Molsheim ont des terrains homologués pour la D1
Il y a une dérogation d'un an pour jouer sur un terrain classé T3. Du coup, en T3, il y a aussi le stade du Vauban. Après si cela fait comme les autres équipes de D1, mise à part les matchs contre OL et PSG qui peuvent attirer du monde, sinon cela tourne autour de 500 spectateurs ! -
chrisneudorf a écrit, le 23/05/2024 07:43 : Effectivement y a un gouffre
Saison dernière Lille a fait championne ligue 2
Cette saison elles ont fini dernière avec seulement 2 victoires
Avec certes plus d'expérience, Saint-Etienne avait aussi fini championne de ligue 2 (groupe B) et se maintient tranquillement cette année (7e sur 12, 16 points d'avance sur les 2 clubs relégués) -
chris3fr a écrit, le 23/05/2024 07:06 : Et ben, garçons et filles même combat, vous êtes championnes c’est bien mais maintenant vous dégagez.
J'ai pas dit que je trouvais ça bien. Mais l'ayant vécu moi-même en tant que coach, tu ne peux pas conserver tout ton effectif d'une montée sauf si tes joueurs étaient des stars de la division d'au dessus descendues aider le club. C'est rare.
Beaucoup de filles vont légitimement laisser leur place à d'autres. Mais certains choix vont surprendre. -
Dans le foot féminin, au même niveau que le Racing, j'imagine que les contrats ne durent qu'un an, pour celles qui en ont. Donc, chaque année il faut refaire des discussions, libre à la joueuse de partir ou au club de s'en séparer.
Perso cette année, pour ce que j'en ai vu, j'ai beaucoup apprécié les recrues Hoarau et Bonet, plus généralement la défense qui a été très solide. L'Américaine Rosette a aussi montré de bonnes choses avant de se blesser.
Chez les joueuses offensives, j'ai apprécié Hannequin et Chapelle.
Donc si je devais faire une liste de joueuses à conserver : Bonet, Dechilly, Hoarau, Chaney, Rosette, Hoeltzel, Wahl, Hannequin, Chapelle. En back-up des joueuses comme Nado, Munier, Haugou, Palin, Neller.
On n'aura pas trop vu Eloissaint, blessée rapidement.
Je vois surtout du recrutement à faire au milieu de terrain. -
mediasoc a écrit, le 24/05/2024 11:54 :
Perso cette année, pour ce que j'en ai vu, j'ai beaucoup apprécié les recrues Hoarau et Bonet, plus généralement la défense qui a été très solide. L'Américaine Rosette a aussi montré de bonnes choses avant de se blesser.
On marche quand même sur la tête en France, Le 2ème niveau féminin qui joue devant 200 personnes et avec des joueuses étrangères professionnelles ! (tout cela finalement avec les taxes foncières des contribuables français) -
T'inquiète pas, elle ne doit pas coûter très cher en taxes foncières :)) :))
On sent bien que le foot féminin ne t'inspire rien de bon, alors passe ton chemin (+) -
mediasoc a écrit, le 24/05/2024 11:54 : Dans le foot féminin, au même niveau que le Racing, j'imagine que les contrats ne durent qu'un an, pour celles qui en ont. Donc, chaque année il faut refaire des discussions, libre à la joueuse de partir ou au club de s'en séparer.
Perso cette année, pour ce que j'en ai vu, j'ai beaucoup apprécié les recrues Hoarau et Bonet, plus généralement la défense qui a été très solide. L'Américaine Rosette a aussi montré de bonnes choses avant de se blesser.
Chez les joueuses offensives, j'ai apprécié Hannequin et Chapelle.
Donc si je devais faire une liste de joueuses à conserver : Bonet, Dechilly, Hoarau, Chaney, Rosette, Hoeltzel, Wahl, Hannequin, Chapelle. En back-up des joueuses comme Nado, Munier, Haugou, Palin, Neller.
On n'aura pas trop vu Eloissaint, blessée rapidement.
Je vois surtout du recrutement à faire au milieu de terrain.
Dans tes backups y en a déjà 4 qui ont été priées de trouver une autre destination. -
J’ai peut-être raté un post qui traitait du sujet mais il me semble que cette saison avec l’abonnement on pouvait aller voir les matchs de féminines.
Maintenant qu’elles sont en première division, est ce que ça va changer ?
Il y a quand même moyen de faire une petite affluence contre Lyon et Paris (selon le stade où auront lieu les matchs). -
Et pendant ce temps là ... https://footamateur.ouest-france.fr/lus-orleans-a-decide-darreter-son-equipe-feminine/
Orleans qui sera le dernier match de la saison pour Strasbourg !
Ce qui est intéressant dans l'article, c'est le positionnement des dirigeants de l'association qui, comme dans beaucoup de club, gère indirectement la section féminine. Ils sont outré de voir le repreneur du club "professionnel" se désengager de la section féminine. C'est tout le paradoxe français, les gens sont ambitieux et souvent "bénévoles" (ce qui est louable) mais, à la fin, c'est toujours avec l'argent des autres !
Et on parle là d'une activité qui est définitivement et largement déficitaire et ne sera probablement jamais à l'équilibre financier.
C'est un peu le problème du football féminin français, un coup d'esbrouffe, d'opportunisme, de quoi qu'il en coûte, d'effet de mode "mediato-wokiste" qui conduit tout le monde à vouloir avoir une "grosse" équipe féminine !!
Et, à la fin, en pratique, il n'y a pas beaucoup d'argent et mise à part la galasie AULAS et la galaxie QATAR, et un peu le BAHREIN pour le Paris FC, c'est le désert ! -
Je peux tout à fait entendre qu'un repreneur ne souhaite pas financer une activité qui perde de l'argent, mais embrayer là dessus avec le genre d'anathème facile "mediato-wokiste", c'est dommage.
Trois choses à ce sujet :
- Ok ça perd de l'argent mais ça peut être vu comme un investissement de long terme. Article dans l'Equipe du jour : le foot feminin est au Barça la seule section qui est à l'équilibre financier grâce notamment à des salaires modérés et deux des cinq maillots les plus vendus à la boutique sont des maillot de joueuses. D'un point de vue marketing, miser sur une identification plus facile de la moitié de la population (et le plus gros vivier de croissance) n'est pas idiot et n'a rien à voir avec un agenda politique ;
- Les relations entre l'assoc et la section pro constituent un sujet byzantin où un mec comme Sitterlé s'était complètement perdu à l'époque. Ok l'assoc reçoit de l'argent mais en même temps elle fournit le socle du club et il dans les clubs formateurs il y a des profits très intéressants qui sont réalisé par le pro sur des joueurs qui ont été au début formés par des bénévoles, très difficile de résumer ce qui devrait revenir aux uns et aux autres et quels sont les équilibres adaptés ;
- A un moment ça reste un sport où à la base on a envie de performer à tous les niveaux, y compris féminin. Pour un coût qui reste par ailleurs mineur par rapport àce qui peut - par exemple - être claqué en indemnités d'agent. -
C'est quand même la réalité, quand on voit les réactions "pseudo-féministe" liées à la décision de l'actionnaire de la SASP Orléans Loiret Football d'arrêter la section féminine, on peut se poser la question de l'approche économique globale en France.
Rien n'empêche l'association US ORLEANS LOIRET FOOTBALL de reprendre à son compte la gestion et la performance sportive de l'équipe fanion féminine (mais on sait tous qu'en France dans le sport "pseudo-professionnel", les gens aiment bien "faire mumuse" avec l'argent des autres ou l'argent public.
Pour le reste des arguments :
- Ne pas comparer la France à L'espagne (et encore moins dans le football féminin)
- L'histoire de l'assoc "socle du professionnel" est devenu une légende urbaine, le maintien du numéro d'affiliation à l'assoc permet surtout d'éviter un déménagement n'importe ou comme cela se fait en amérique du nord. Pour le reste, on voit bien avec la multi-propriété que les sections mineures serviront de moins en moins à l'équipe professionnelle.
- rien n'empêche de performer en étant amateur (voir en payant sa licence), dans le football c'est un peu biaisé à cause des droits TV mais dans d'autres sports, cela est très fréquent !
P.S. Quand on voit des clubs de D2 féminine qui ont de multiples joueuses étrangères alors qu'il n'y a aucun modèle économique, cela me rappelle la section féminine de Vauban (récupéré de BISCHHEIM) qui a croqué la baraque en une saison, et disparu après sa descente au niveau régional). Et on voit aujourd'hui ce que va devenir VAUBAN (en général) l'année prochaine ! -
Je crois qu’on s’est pas compris, mais c’est pas grave. A aucun moment je ne nie qu’il y ait un souci de rentabilité sur le football féminin ou qu’il y ait des structures fragiles et financées à perte. Si le gars d’Orleans veut pas payer, ok, dont acte. Je suis juste pas d’accord sur les qualificatifs un tantinet misogynes que tu utilises pour caractériser la position inverse - qui consiste à financer à perte pour l’instant. C’est pas si bête et stratégiquement ça a un sens.
Un autre truc en passant, la part du public féminin dans la F1 est passé de 8% en 2017 à 40% actuellement donc ça a quintuplé en sept ans. Dans un marché de droits marketing et tv du sport qui tend à plafonner, accrocher le public féminin est un des derniers viviers de croissance. Qu’une équipe féminine puisse aider à solidifier l’attention féminine pour une marque globale n’est pas totalement incohérent. -
Ce message est une brève publiée par mediasoc :
En D2 féminines, lors de la dernière journée, l'US Orléans et le RCS ont fait match nul 0-0.
> Orléans (f) - RCS (f) 0-0 -
Bravo les filles ! Une seule défaite sur la saison! Chapeau bas :)
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