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Une fois n'est pas coutume, le Racing se déplaçait dans un autre quartier de Strasbourg, pour affronter le FC Kronenbourg en Coupe de France.
Ce dimanche, c'est en tram ou même à vélo que les supporters du Racing se sont déplacés au stade du FC Kronenbourg. Comme un avant-goût des matches qui nous attendent en championnat, où les déplacements se font de plus en plus courts.
Les Strasbourgeois étaient venus en masse pour assister à ce match, qu'ils soient pour le club phare de leur ville, ou venus encourager le petit poucet de cette rencontre, les abords du stade étaient de ce fait, bien garnis.
A noter que le FC Kronenbourg applique à la lettre le principe qu'au XXIe siècle, la femme est l'égal de l'homme, et fait donc payer les entrées 6€ quel que que soit le sexe du spectateur. Ce qui a bien évidemment engendré quelques critiques à la caisse, un bénévole du FC Kronenbourg se risquant même a une explication plutôt hasardeuse en ces termes : « c'est la ligue qui veut ».
Une fois la rencontre entamée, il n'y eut pas de chants à relever côté Racing, mais quelques "supporters" du FC Kronenbourg se sont fait remarquer en lançant des chants à l'encontre de François Keller lorsque celui-ci tenta de donner des consignes à ses joueurs, ou d'autres fois lorsqu'un joueur Bleu et Blanc s'approcha d'eux pour tirer un corner. Rien de bien surprenant pour autant, se faire huer en allant tirer un corner près des supporters adverses étant le lot de beaucoup de footballeurs. Outre ces quelques faits, l'atmosphère fut toutefois moins hostile que ce qu'on aurait pu imaginer.
A 4-0, un petit groupe de supporters du Racing fredonna pendant quelques minutes le fameux chant Quatre buts au fond des caisses...
Après le coup de sifflet final, quelques joueurs du Racing ont encore passé quelques minutes au bord de la main courante à discuter avec des spectateurs avant de rejoindre les vestiaires. Cette proximité avec les joueurs, que nous amènent les matchs dans ce genre de stade, les premiers tours de Coupe et le CFA2, pourrait presque faire regretter la L1 et son lot de "stars", mais juste presque.
Les Strasbourgeois étaient venus en masse pour assister à ce match, qu'ils soient pour le club phare de leur ville, ou venus encourager le petit poucet de cette rencontre, les abords du stade étaient de ce fait, bien garnis.
A noter que le FC Kronenbourg applique à la lettre le principe qu'au XXIe siècle, la femme est l'égal de l'homme, et fait donc payer les entrées 6€ quel que que soit le sexe du spectateur. Ce qui a bien évidemment engendré quelques critiques à la caisse, un bénévole du FC Kronenbourg se risquant même a une explication plutôt hasardeuse en ces termes : « c'est la ligue qui veut ».
Une fois la rencontre entamée, il n'y eut pas de chants à relever côté Racing, mais quelques "supporters" du FC Kronenbourg se sont fait remarquer en lançant des chants à l'encontre de François Keller lorsque celui-ci tenta de donner des consignes à ses joueurs, ou d'autres fois lorsqu'un joueur Bleu et Blanc s'approcha d'eux pour tirer un corner. Rien de bien surprenant pour autant, se faire huer en allant tirer un corner près des supporters adverses étant le lot de beaucoup de footballeurs. Outre ces quelques faits, l'atmosphère fut toutefois moins hostile que ce qu'on aurait pu imaginer.
A 4-0, un petit groupe de supporters du Racing fredonna pendant quelques minutes le fameux chant Quatre buts au fond des caisses...
Après le coup de sifflet final, quelques joueurs du Racing ont encore passé quelques minutes au bord de la main courante à discuter avec des spectateurs avant de rejoindre les vestiaires. Cette proximité avec les joueurs, que nous amènent les matchs dans ce genre de stade, les premiers tours de Coupe et le CFA2, pourrait presque faire regretter la L1 et son lot de "stars", mais juste presque.
